Là où l'update fait grincer des dents, c'est qu'elle introduit également certaines modifications tarifaires. C'est en tout cas ce que croit savoir un utilisateur de GTPlanet qui rappelle qu'au lancement de Gran Turismo 7, Sony Interactive Entertainment avait conclu un accord avec Hagerty, une société d'assurance spécialisée dans l'automobile. Le but de ce partenariat ? Réviser le prix des véhicules légendaires en fonction de leur cote dans la vie réelle. Ainsi, après avoir dataminé la dernière mise à jour, le bonhomme s'est aperçu que 62 voitures étaient concernées. 27 d'entre elles vont voir leur prix augmenter (si ce n'est pas déjà fait), 21 vont conserver le même tarif, et 2 vont voir leur prix diminuer (si ce n'est pas déjà fait).

Certaines hausses font clairement mal à la tête. Par exemple, la Ferrari F40 de 1992 passe de 1 350 000 à 2 600 000 de crédits, soit une augmentation de 1 250 000 de crédits. Il y a aussi la Mercedes-Benz 300 SL (W194) de 1952 qui passe de 11 000 000 à 13 000 000 de crédits, soit une augmentation de 2 000 000 de crédits. Comme on pouvait s'y attendre, les cas de décote se comptent sur les phalanges d'un doigt. Il y a bien l'Aston Martin DB5 de 1964 qui passe de 970 000 à 941 000 crédits, ou encore la Porsche Spyder Type 550/1500RS de 1955 qui passe de 5 000 000 à 4 500 000 de crédits.
Bien évidemment, la réaction des joueurs ne s'est pas fait attendre, et ils sont nombreux à estimer que Polyphony Digital les considère comme des vaches à lait, car en agissant de la sorte, le studio les pousse vers les microtransactions. "L'inflation est même présente dans le jeu, ironise l'un d'entre eux. Ce jeu est vraiment la simulation automobile ultime." D'autres affirment qu'ils n'appréciaient pas déjà la société Hagerty et que ce genre de manoeuvre ne va certainement pas leur faire changer d'avis. Bref, une nouvelle polémique pour Gran Turismo 7 qui s'en serait certainement bien passé.
















