Avant d'ajouter : "Si je prends l'exemple d'un parc d'attractions, vous avez la possibilité d'essayer chacune des attractions, mais vous pouvez également aller dans les boutiques pour vous restaurer, acheter des goodies, etc. Indépendamment de ce que vous allez dépenser, vous profitez toujours du parc d'attractions. Personne ne vous obligera à acheter quoi que ce soit, il s'agit juste d'une façon différente de vivre ce divertissement .Si vous êtes avec vos enfants et que vous désirez leur offrir un jouet, nous ferons en sorte que vous puissiez accéder à cet extra [...]. Ce principe ne fonctionnerait pas si vous rendiez le contenu indispensable. Terminé les DLC que vous devez acheter si vous souhaitez profiter pleinement du jeu. Vous possédez le jeu, et si vous tenez à prolonger le plaisir - en fonction de la manière dont vous profitez du jeu - vous êtes libre d'acheter du contenu supplémentaire ou pas".
Naturellement, Rainbow Six Siege fait office d'exemple à suivre, et Anne Blondel-Jouin assure que si les joueurs n'étaient pas satisfaits des DLC payants - qui permettent de s'offrir des nouveaux opérateurs et de customiser les armes, les maps étant remises gratuitement - Ubisoft ne leur ferait pas sortir la carte bleue. "Cette nouvelle façon de voir les choses est due au fait qu'Ubisoft se doit de fournir à ses jeux la meilleure qualité possible, indique-t-elle. Si vous concevez un jouet médiocre, il restera dans les étalages, et ce quelle que soit la marque". Reste maintenant à savoir si cette tendance va perdurer, ou s'il ne s'agit que d'un phénomène passager.
