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Activate 2005

Activate 2005

Comme chaque année en cette période estivale, Activision présente son line-up des différents jeux à venir pour 2005 et 2006. Cette année, Londres fut la ville candidate pour accueillir la presse européenne et c’est au Thistle Tower Hotel, au pied du Tower Bridge que l’événement s’est déroulé. Synthèse.


Il est une tradition chez Activision depuis pas mal d’années déjà, de présenter son catalogue de titres prévus pour les mois à suivre. Avec un line-up fort bien approvisionné cette année, l’éditeur américain n’a pas enfreint à la règle et a décidé de se rendre à Londres, la capitale de la Grande-Bretagne, pour convier l’ensemble de la presse européenne à venir tester ses jeux. Si Quake IV et Call of Duty 2 étaient tous les deux abonnés aux absents (des présentations spécifiques et plus pointilleuses seront faites par la suite) d’autres titres prometteurs pouvaient se laisser approcher pour la première fois. Parmi les plus attendus, on peut citer le nom de Gun - la nouvelle production des géniteurs de la série Tony Hawk – The Movies, supervisé par Peter Molyneux, True Crime : New York City ou bien encore Star Wars : Empire at War. D’autres titres, certainement moins attendus mais point dénués d’intérêt partageaint également l’affiche. C’était le cas de Ultimate Spider-Man, X-Men Legends II : Rise of Apocalypse, Star Wars : Battlefront II et enfin Shrek SuperSlam. Parmi tous ces softs, certains ont confirmé leur potentiel et sont en passe de devenir d’excellents jeux tandis que d’autres furent de véritables déceptions. Compte-rendu.

 

 

TRUE CRIME : NEW YORK CITY (PC, Xbox, GC et PS2)

 

Dire qu’Activision mise énormément sur True Crime 2 est un doux euphémisme. Après un premier épisode somme toute sympathique mais loin d’atteindre la qualité de son illustre modèle, Luxoflux compte bien détrôner le grand GTA : San Andreas. Autant se dire que la tâche sera rude mais True Crime : New York City possède des atouts à ne surtout pas négliger. Tout d’abord, d’un point de vue graphique, le jeu met à l’amende le hit de Rockstar Games avec des textures plus fines, un niveau de détails bien plus élevés et une modélisation de New York à tomber par terre. Les développeurs ont dépensé énormément d’énergie à recréer l’ambiance unique de la Big Apple des Etats-Unis, en enregistrant même les différents sons qu’on peut entendre en se baladant dans les rues de New York. Cependant, et c’est ce qui manquait au premier True Crime, c’était une véritable identité que sa suite va tenter d’imposer. Pour ce faire et pour copier GTA : San Andreas, on incarne un héros de couleur, histoire d’être dans le move. Dans la peau de Marcus Reed, flic de profession, il sera toujours possible de respecter la loi ou pas, influant de cette manière sur le déroulement de l’histoire. En effet, en fonction de vos diverses actions, les rues de New York seront sans danger ou à l’inverse aux proies de la mafia locale, faisant fuir la plupart des habitants. Un certain nombre de missions, aux objectifs aussi divers que variés, permettront de parcourir les kilomètres de bitume fidèlement modélisés. Heureusement, il sera possible d’utiliser divers moyens de transport comme héler un taxi, accaparer un véhicule par la manière forte ou en montrant sa plaque de flic, piloter un hélicoptère et j’en passe. Bref, on évolue en terrain connu et les fans du premier épisode devraient rapidement retrouver leurs marques. Pour couronner le tout, sachez qu’Activision a fait appel à des comédiens de renom pour assurer le doublage des différents acteurs du jeu. La classe !

 

 

ULTIMATE SPIDER-MAN (PC, Xbox, GC et PS2)

 

Le succès du comic book aidant, Activision a décidé d’étendre les aventures du jeune Peter Parker en un jeu vidéo au design très stylisé. Utilisant le cel-shading en tant que procédé graphique mais dans un style quelque peu différent de ce qu’on a pu voir, Ultimate Spider-Man flatte nos pupilles dès l’instant où notre regard s’est posé sur lui. En effet, les graphismes du jeu dégagent une certaine atmosphère et lui confèrent un cachet unique en son genre. Pour surfer sur la vague de l’un des jeux les plus vendus de la planète, les développeurs ont choisi la facilité en reprenant le système de jeu libertaire de Grand Theft Auto. Sans jamais atteindre le gameplay du hit de Rockstar Games, celui d’Ultimate Spider-Man propose un environnement ouvert : ici la ville de New York. Dans la peau de Spider-Man, le joueur est totalement libre de ses déplacements et peut se balader d’un bâtiment à un autre, sans jamais être freiné par un quelconque élément du décor. Si le jeu s’articule autour d’un scénario distinct avec des missions spécifiques à remplir, rien ne nous empêche de sortir de ce carcan scénaristique pour se faire plaisir dans des missions facultatives. Attention toutefois car il faudra suivre à la lettre certains objectifs avant de pouvoir mettre en route le scénario du jeu. Les quelques heures passées en compagnie de l’homme-araignée, nous a permis d’apprécier la modélisation assez réussie de la ville de New York. Des bouts de quartiers comme Time Square ou bien encore le centre de Manhattan sont facilement reconnaissables et même si les textures restent un poil légères, l’ensemble graphique reste une réussite.

 

Pour mener à bien sa quête de justice, Peter Parker pourra faire appel à ses pouvoirs arachnoïdes pour sauver la veuve et l’orphelin. Si au sol, notre héros dispose d’une panoplie de coups intéressante, elle reste finalement assez limitée. Il est heureusement possible de combiner plusieurs attaques pour ne pas tomber trop rapidement dans la monotonie des combos. Mais c’est dans les airs que notre valeureux personnage prend toute son ampleur. Les phases de voltige sont tout simplement reproduites avec une exactitude proche de ce qu’on avait pu voir dans les deux films réalisés par Sam Raimi. La souplesse de Spider-Man permet d’exécuter des acrobaties grisantes et se balader de buildings en building en tissant ses propres toiles assurent des sensations uniques. Le plaisir est double dès lors qu’on se retrouve aux commandes de Venom, l’autre personnage jouable du jeu. Complètement différents de Spider-Man, les mouvements de Venom font la part belle à la force brute. D’un revers de phalanges, il est capable d’assommer un ennemi d’une seul traite. Ses pouvoirs lui permettent d’engloutir ou d’attaquer ses ennemis à distance, grâce à ses tentacules extensibles. D’autres surprises de taille viendront agrémenter le scénario et les fans de la BD seront ravis d’apprendre qu’une vingtaine de guest-stars tels que Wolverine, Johnny Storm des 4 Fantastiques et d’autres personnages forts de Marvel feront de brèves apparitions. Agréable surprise de l’Activate 2005, Ultimate Spider-Man pourrait bien réconcilier les fans qui avaient boudé à juste titre les anciens numéros de Spider-Man.

 

 

GUN (Xbox 360, PS2, GC et Xbox)

 

Parmi les titres les plus prometteurs de l'Activate, Gun faisait partie de ceux qui nous ont le plus impressionné. Il faut avouer que la présentation n’a pas été faite dans la demi-mesure. Ecran plasma gigantesque, volume sonore à la limite de l’audible et une démo alléchante, difficile de croire que la version qui tournait sous nos yeux provenait d’une PS2. Et pourtant… Neversoft et Activision savent éperdument qu’ils ont entre leurs mains un jeu qui pourrait faire l’effet d’une bombe lors de sa sortie. Loin des conflits de la Seconde Guerre Mondiale, le background de Gun va tenter de rendre hommage au western, un genre finalement peu adapté en jeu vidéo. Le joueur incarnera le rôle Seth, un cow-boy pour qui la vie va basculer le jour où il apprend que Ned n’est pas son père biologique. Commence alors une grande aventure pour notre héros solitaire qui va devoir traverser le Far-West à la recherche de son identité. Sur le modèle de Grand Theft Auto, Gun propose un environnement totalement ouvert, sans aucun temps de chargement. La technologie du streaming fait des miracles et la sensation de liberté prend alors des proportions démesurées. Pour parcourir ces kilomètres de plaines et autres vallées désertiques, il est conseillé de faire appel à votre cheval, qui deviendra rapidement votre ami pour la vie. A l’instar d'un Zelda, Gun prend une toute autre dimension, une fois sur le dos de son cheval en assurant des sensations franchement grisantes. Grâce à un travail minutieux de la part des développeurs, les mouvements de notre compagnon chevalin frise le réalisme parfait. Trot, galop, petits pas sur le côté, cabré, votre cheval a été animé avec le plus grands des soins et nous obéira au doigt et à l’œil. Attention toutefois à prendre soin de lui car il n’est pas à l’abri des tirs ennemis, qui pourraient ainsi le blesser. En cas de décès prématuré, il est toujours possible de chevaucher les montures d’autrui.

 

Si le jeu suit un scénario bien ficelé, rien ne nous empêchera de remplir des objectifs facultatifs ou de se balader librement de villes en villes ou bien encore aller faire une petite partie de poker dans un saloon, accompagné de charmantes demoiselles. Mais Gun fait également la part belle aux scènes d’action avec, vous l’imaginez, des gunfights comme on aime en voir dans les films de western. Si le jeu se déroule principalement en mode de vue à la troisième personne, il est possible de passer en vue subjective (R2). On passe alors en slow motion et l’action ralentie, permet de tirer avec plus de précision. Efficace certes mais pas autant que d’achever un ennemi en lui scalpant le haut du crâne dans une violence inouïe. D’un point de vue purement technique, le moteur graphique de Gun permet une localisation des dégâts réalistes puisque tirer dans une partie précise du corps n’aura pas les mêmes conséquences. Envoyez une balle dans la jambe d’un type le fera chuter à terre tandis que lui tirer dans le bras lui obligera à lâcher son arme. Inutile de tergiverser davantage, Gun fait partie des titres qu’on attend avec impatience à la rédac’ et cette preview vient compléter le premier avis qu’on avait eu lors de notre dossier consacré au jeu, il y a quelques semaines déjà.

 

 

STAR WARS : EMPIRE AT WAR (PC)

 

Malgré toute la bonne volonté de LucasArts, aucun jeu de stratégie n’a, à ce jour, réussi à faire honneur à la saga Star Wars et beaucoup se sont cassés les dents. Pour autant, LucasArts ne perd pas espoir et semble tenir le bon bout avec Star Wars : Empire at War. Depuis son annonce au début de l’année, bon nombre de joueurs se sont ralliés à sa cause, pensant trouver en ce titre inattendu une espèce de Homeworld dans l’univers de la Guerre des Etoiles. Manque de bol pour ceux-là, Star Wars : Empire at War se rapproche davantage d'Imperium Galactica 2, ce qui n’est pas non plus une tare, bien au contraire. Toutefois, la petite heure passée en sa compagnie s’est révélée quelque peu décevante. Graphiquement, le jeu ne casse pas trois pattes à un canard et on est loin, très loin de la qualité des jeux de stratégie qu’on peut voir actuellement sur le marché. En termes de gameplay, ce n’est pas plus intéressant puisque le jeu s’annonce comme étant très classique dans son genre, surtout lors des batailles terrestres. Le but ici est de conquérir un maximum de planètes qui vous permettront par la suite de gagner des fonds financiers pour créer vos troupes. Les affrontements se feront aussi bien sur terre que dans l’espace et il faudra bien étudier le terrain avant de se lancer dans la bataille car l’ennemi n’est pas dupe. Le joueur a la liberté de choisir entre la Force et le côté obscur, en sachant que chaque camp est représenté respectivement par Obi-Wan Kenobi ou Dark Vador. Munis de leur sabre-laser, ces deux personnages ne sont autres que le point névralgique de tout stratège. Les éliminer vous assure une victoire quasi certaine. Méfiance tout de même car ces personages clefs possèdent une force de frappe incroyable et une résistance aux attaques à rude épreuve. Quant aux combats dans l’espce, ils se dérouleront dans un espace confiné à la 2D. Un choix volontaire et totalement assumé par les développeurs qui risque d'handicaper grandement les possibilités de jeu. Impossible don d’établir une stratégie dans un espace libre, il faut absolument que Star Wars : Empire at War séduise le grand public. Il existe bien une représentation en 3D – disponible en appuyant sur la barre espace du clavier – mais elle se contente de présenter les affrontements d’une manière cinématographique et à aucun moment, il est possible de contrôler ses troupes. Il faut alors passer à la vue principale, chose qu’on fera volontiers parce que saturé d’entendre le bruitage pénible des tirs des vaisseaux.

 

 

STAR WARS : BATTLEFRONT II (PC, Xbox et PS2)

 

Enorme succès commercial lors de sa sortie l’année passée, Star Wars : Battlefront est la nouvelle coqueluche de LucasArts. En effet, le titre est tout bonnement le jeu estampillé Star Wars le plus vendu au monde à l’heure actuelle. Face à cette poule aux œufs d’or inattendue, LucasArts s’est empressé de lancer la production de sa suite, simplement baptisée Star Wars : Battlefront II. A l’instar de son aîné, le jeu est avant tout destiné au multijoueur bien qu’une campagne solo (Rise of The Empire) permettra aux solitaires d’enquiller les 12 missions prévues à cet effet, avec un véritable scénario à la clef et se déroulant peu après les événements de l’Episode III. Parmi les nouveautés, il faudra compter sur la possibilité de jouer en tant que jedi. Toutefois, pour pouvoir les incarner (et surtout pour éviter tout abus), il faudra tenir un certain temps et ne pas mourir trop rapidement. En cas de parcours sans faute, vous serez récompensé par la possibilité d’utiliser les pouvoirs et le sabre-laser de ces chevaliers jedi. Après un laps de temps, il disparaîtra de lui-même pour laisser à nouveau place eu personnage original. Star Wars : Battlefront II intègre désormais des combats se déroulant dans les cieux et dans l’espace. A bord de Tie Fighters et d’autres vaisseaux connus de la saga, les affrontements ne sont pas sans rappeler ceux de la série Rogue Squadron, un comparatif plutôt flatteur. A noter que certaines maps permettent de commencer un combat à pied, de monter à bord d’un vaisseau pour continuer la guerre dans l’espace. La sensation de liberté est plutôt intéressante mais elle se limite à certaines cartes uniquement. L’étendue de celles-ci s’annonce encore plus vaste qu’auparavant et le plaisir d’affronter des amis ou des joueurs du monde entier devrait être encore d'actualité. Dommage en revanche que le moteur utilisé soit le même que le premier épisode car celui-ci commence déjà à tirer la gueule et sur consoles, la qualité graphique est tout juste correcte, sans plus. Espérons maintenant que LucasArts améliore la connexion réseau car à l’Activate, il était loin d’être au point.

 

 

X-MEN LEGENDS II : RISE OF APOCALYPSE (PC, Xbox, GC et PS2)

 

Soucieux de créer une toute nouvelle licence, Activision n’a pas attendu la sortie de X-Men Legends pour annoncer la mise en chantier de sa suite X-Men Legends II : Rise of Apocalypse en octobre 2004. Avec à peine un an de différence entre les deux titres les joueurs savent qu’on aura affaire, tout au mieux, à une version améliorée du numéro précédent. Et ils avaient vu juste les bougres ! Disposant du même moteur graphique et d’un gameplay similaire en tous points, X-Men Legends II : Rise of Apocalypse ressemble davantage à un add-on qu’à une véritable suite. Avec l’apparition de Magneto, Archangel ou bien encore du Fleau, le nombre de personnages jouables se chiffre désormais à 16 individus. A l’instar du premier épisode, le joueur prendra le contrôle d’une équipe de 4 super-héros, qu’il aura choisi au préalable. A tout moment, il est possible de switcher d'un personnage à un autre et tirer ainsi avantage des pouvoirs de chacun. La panoplie de coups a été revue à la hausse et on en dénombre le double par rapport au premier X-Men Legends. Chacun des personnages dispose de coups basiques mais surtout de super-attaques, capables de nettoyer tout un écran d’ennemis malvenus. Hormis cet enrichissement de contenu, les mécanismes du jeu restent globalement identiques et on se contente souvent de frapper dans le lard sans vraiment de réflexion. On espère que l’intérêt du jeu n’en restera pas là, sous peine de lasser rapidement le joueur.

 

 

THE MOVIES (PC, Xbox, GC et PS2)

 

Généralement, lorsqu’un jeu bénéficie du savoir-faire de Peter Molineux, il y a de fortes chances pour que celui-ci rencontre un succès commercial mais également critique. En gestation depuis quelques années déjà chez Lionhead Studios, The Movies prend le pari osé de chambouler un peu la congrégation du jeu vidéo, qui se repose sur ses lauriers depuis bien trop longtemps. The Movies nous placera à la tête d’une industrie du cinéma dans un jeu de gestion fort original. En effet, après avoir embauché son personnel technique, ses comédiens, les avoir chouchouté, faire du marketing à haut niveau, superviser le bon fonctionnement des plateaux, il sera possible de mettre en scène son propre film ! Le jeu laissera libre cours au scénario, promettant des possibilités de jeu énorme. Les joueurs en panne d’inspiration pourront faire appel à des scénaristes professionnels pour disposer d’une histoire toute fraîche. Plusieurs genres de films seront mis à disposition et rien ne vous empêchera de mettre en œuvre un polar en noir et blanc ou bien un film à l’ambiance funky des années 70. Si au départ, la manque de budget et d’expérience nous obligera à réaliser des films de première catégorie, très vite le métier de cinéaste et de producteur s’imprimera au fer rouge pour ensuite mettre en scène des longs-métrage de qualité.  Une fois les films montés, il sera possible d’enregistrer les œuvres dans un format vidéo classique, afin de les faire partager avec le reste du monde via internet. On imagine d’ores et déjà la création d’une communauté qui s’échangerait ses petits films en son sein. Des idées, Peter Molyneux en a plein la tête. S’il ne respecte pas toujours ses promesses, The Movies semble faire exception à la règle et devrait en surprendre plus d’un. Réponse dès cet automne.

 

 

SHREK SUPERSLAM (Xbox, GC et PS2)

 

Tel un intrus pointé du doigt, on ne peut pas dire que Shrek SuperSlam attirait les foules lors de l’Activate. Les bornes étaient généralement libres et rares sont les journalistes qui ont daigné posé les yeux dessus. Au premier coup d’œil, il faut avouer que rien n’est fait pour attirer le chaland. Le jeu est avant tout destiné au jeune public et il ne fait aucun doute qu'il profite de la notoriété de l’ogre vert et de son ami l'âne pour tenter de faire oublier les précédents jeux estampillés Shrek. Pour ce faire, le héros anti-Disney change totalement de registre et se lance maintenant dans un jeu de combat dans la même veine que Super Smash Bros. Melee. Quatre joueurs peuvent en effet prendre part aux affrontements qui se dérouleront dans des arènes fermées. Le but est d’exécuter un maximum de slams, l’équivalent des combos chez Capcom et mettre son adversaire au tapis le plus rapidement possible. Par moments, quelques items parsèmeront les zones de combat afin de gagner en puissance et de sortir vainqueur plus rapidement. Amusant quelques minutes, on doute que l’intérêt de ce titre ne décolle vraiment et même s’il est destiné aux enfants, on a bien peur que le jeu risque également de les ennuyer, faute de personnalité.

 

S'étalant sur une période de trois jours, l'Activate 2005 nous a permis d'avoir un premier avis sur certains jeux, qui étaient jusqu'alors restés dans le domaine du top secret. Comme vous avez pu le constater en lisant (ou pas) ce dossier, certains titres s'annoncent prometteurs, tandis que d'autres se révèlent être une déception. Néanmoins, dans une démarche professionnelle, on attendra les versions "test" pour tirer de véritables conclusions. Quant à Call of Duty 2 et Call of Duty 2 : Big Red One, on vous prépare un gros dossier prochainement (mi-septembre environ) puisque nous avons pu entre temps, nous rendre à Ksiezycowy Dworek en Pologne, dans un camp militaire reconstitué pour se plonger à nouveau dans l'enfer de la Seconde Guerre Mondiale.






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