"Même quand vous vous lancez dans quelques chose, que vous disposez d'un bon point de départ qui fonctionne, il n'y a peut-être pas grand-chose derrière. Ou alors il y a plus, mais le seul moyen de l'obtenir, c'est par l'intermédiaire de gens qui vont faire des expérimentations, prendre des risques. [...] Nous sommes otpimistes. Nous pensons que la VR se porte bien, qu'elle va dans le bon sens par rapport à nos attentes. Nous sommes aussi très à l'aise avec la possibilité de que ce soit un échec total".
Loin de la langue de bois traditionnelle, Newell présente un tableau beaucoup plus nuancé qui place la réalité virtuelle comme un pari très risqué, plutôt qu'un véritable secteur d'avenir.
