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Test également disponible sur : Wii

Test DBZ : Budokai Tenkaichi 2

Test DBZ : Budokai Tenkaichi 2
La Note
15 20

Tester Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 sur Wii revient à poser le pour et le contre de cette nouvelle façon d’aborder le jeu. Certes, le fait de reproduire avec des gestes les attaques de ses guerriers préférés permet de gagner en immersion, mais il se fait au détriment de la fluidité des actions et d’un plaisir de jeu moindre au final. Amusante au départ, cette nouvelle jouabilité perd de son intérêt assez rapidement et c’est sans complexe qu’on remplacera le duo Wiimote / Nunchuk par une manette GameCube classique. Dommage pour une adaptation censée mettre l’accent sur cet aspect inédit. La jouabilité de la Wii ne s’adapte pas à tous les genres de jeu et Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 en est la preuve vivante.  Heureusement que le contenu et l'habillage sont restés intacts.


Les plus
  • 129 personnages !
  • Enfin un mode Story digne de ce nom
  • Gameplay plus approfondi
  • Des attaques renouvelées
  • Les transformations en temps réel
  • Une richesse de jeu incroyable !
  • Les voix japonaises
  • Compatible avec le pad GameCube
Les moins
  • Pas très jouable avec le duo Wiimote / Nunchuk
  • Des musiques PAL indigestes
  • Un jeu qui demande de la maîtrise
  • Quelques bugs qui agacent toujours
  • Cinématique d'intro ratée


Le Test

Il y a tout juste deux mois, Spike rendait à nouveau hommage à l’œuvre mythique d’Akira Toriyama en accouchant d’un nouvel épisode de la série des Tenkaichi, aussi connu sous le nom de Sparking au Japon. C’était sur PlayStation 2 et nous avions salué la performance de Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 comme il se devait. Aujourd’hui, c’est au tour de la version Wii de passer sur le billard. Miser sur la nouvelle jouabilité de la Wii n’est pas une mauvaise idée en soi, mais faut-il encore que le genre s’y prête…


Mise à jour de notre test import réalisé le 18 décembre 2006

 

 

On ne vous fera pas le supplice d’attendre la fin du test pour vous dire si oui ou non Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 est jouable sur Wii, avec le duo de choc que représentent la Wiimote et le Nunchuk. Et bien notre avis est plus que mitigé. Si la plastique et le contenu du jeu n’ont pas changé, c’est sa manière d’appréhender les choses qui change de tout au tout. Que l’on découvre le jeu pour la première fois ou que l’on soit un expert en la matière, les pendules sont remises à zéro. Il va falloir se faire à l’idée de réapprendre à s’adapter à cette nouvelle jouabilité, pas franchement commode de prime abord. Pire, certains joueurs peu patients risquent même de jeter l’éponge au bout de quelques parties scandant haut et fort qu’un jeu de la trempe de Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 est injouable sur Wii. Un avis que nous rejoignons à moitié, puisque même après de nombreux jours d’entraînement, difficile de certifier de notre sceau qu’il est idéal de se bastonner, tout en mimant des actions vers l’écran.

 

Je tape et je zappe

 

C’est d’autant plus difficile puisque la prise en main de Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 est à la base un véritable casse-tête chinois sur PS2, et le fait de devoir gesticuler dans tous les sens pour espérer réaliser l’action voulue tient parfois du miracle. Visez un peu : Pour s’élever dans les airs, il faut appuyer sur le bouton C et donner un coup sec vers le haut à l’aide du Nunchuk. Pour revenir sur terre, c’est la manip’ inverse qui est demandée. Le dash s’exécute également à l’aide du module gauche de la manette, sauf qu’il faut agiter fortement le Nunchuk de gauche à droite. Quant au Dragon Dash, il se réalise de la même manière mais en maintenant la touche Z en plus. Deux éléments de base, déjà pas simple à retenir sur PS2 et qui demande encore plus de réflexion et de synchronisation pour arriver à ses fins. Mais les complications ne s’arrêtent pas en si bon chemin. Imaginez que les attaques au corps à corps s’enchaînent avec la Wiimote et plus précisément à l’aide des boutons A et B avec lesquels ils faut alterner. Manque de pot, l’un se situe sur la Wiimote, tandis que l’autre est logé sous l’ustensile et sert même de gâchette. Pour se transformer, c'est sur le bouton 1 qu'il faut appuyer. Oui, oui, celui qui est situé en bas de la télécommande et pas toujours facile à atteindre dans le feu de l'action. Croyez-moi que le confort de jeu est loin d’être optimal. Quant à la garde et l’esquive, s’il est possible de les exécuter via la croix directionnelle de la Wiimote, il est conseillé d’utiliser le pointeur à l’écran et de mimer les gestes avec la zappette. Mouais...

 

C’est alors qu’arrive le moment de passer aux attaques, l’élément clef du jeu, celui qui permet de transcender le fanboy. Là pas d’alternative possible, il faut impérativement avoir les mouvements en tête. Le kaméhamé par exemple se réalise en maintenant les boutons Z et B, pour ensuite ramener ses bras vers soi, en arrière donc avant de donner un grand coup sec vers l’avant à l’aide de Nunchuk et de la Wiimote. D’autres attaques demandent en revanche une utilisation précise de la Wiimote puisqu’il faut jouer avec le pointeur à l’écran, le faire sortir du champ visible pour ensuite le faire revenir de manière incisive. Le taux de réussite est faible et il va falloir apprendre à contrôler son sang-froid pour ne pas laisser filer une Wiimote par la fenêtre. Outre ces moments de latence au niveau de la reconnaissance, cette nouvelle jouabilité brise considérablement la cadence du jeu, qui mise pourtant sur la vélocité des attaques. Le gameplay perd alors considérablement de son intérêt et on passe le plus clair de son temps à coordonner ses mouvements et à se rappeler des gestes à faire que de véritablement se plonger dans le combat. Conscient que cette prise en main quasi inaccessible poserait problème, les développeurs ont laissé le choix aux joueurs de brancher une manette GameCube. Certainement la seule bonne idée de cette adaptation sur Wii. Pour le reste, rien n’a été enlevé ni même ajouté. Ouf.

 

Sang vin neuf

 

Que tous ceux qui pensaient que Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 ne serait qu’un simple update de son aîné se repentissent immédiatement. Non seulement, les développeurs ont réussi à approfondir davantage le gameplay du jeu mais ont en sus considérablement étoffé le contenu ; et tout ceci en l’espace d’une douzaine de mois. Difficile à y croire et pourtant les faits sont bien là. Tout d’abord d’un point de vue graphique, Spike a soigné un peu plus la réalisation du jeu, avec des personnages encore plus proches du coup de crayon de Toriyama, grâce à un cel-shading qui fait vraiment des étincelles. Ensuite, on assiste à un déluge de personnages. En comptabilisant toutes les transformations, il y a 129 personnages ! Du jamais vu dans un jeu de combat ! Mais pour ceux qui n’aiment pas jouer sur les chiffres, sachez qu’il y a en réalité 75 personnages distincts, parmi lesquels on compte 17 belligérants totalement nouveaux. C13, Slug, Tapion, Hildegarne, Thalès, Garlic Jr, Zangya, Pan, Uub, il y a même le bouffi Yajirobe pour les nostalgiques. Spike est donc allé piocher dans les différents films et autres OAV pour garnir un peu plus un casting déjà bien conséquent. Avons-nous atteint les limites de DBZ en matière de personnages ? Il semblerait que non et les développeurs disposent même d’une grande marge encore s’ils veulent vraiment couvrir tout l’univers de DBZ. A ce propos, certains internautes s’amusent d’ores et déjà à imaginer le casting du prochain DBZ Budokai Tenkaichi 3. Amusant.

 

L’histoire sans fin

 

L’autre point positif qui permet à Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 de gagner énormément en intérêt réside dans son mode "Story". Nombreux sont ceux qui étaient sortis déçus de la première expérience "Tenkaichi" suite à l’absence d’un véritable mode "Histoire" au premier épisode. Spike a appris de ses erreurs et a donc décidé d’offrir aux fans un vrai mode "Scénario", baptisé ici "Aventure". Bon, il faut bien avouer que les concepteurs ne sont pas allés chercher bien loin puisqu’il s’agit d’un copié/collé du mode "Story" de Dragon Ball Z : Budokai 3, auquel on a ajouté des éléments supplémentaires. Certains parlent de plagiat. Oui, il y a un peu de ça, et il est vrai qu’on aurait aimé une perspective différente de la part de Spike. Mais ne crachons pas dans la soupe sans y avoir trempé son pain, car le mode solo de Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 est loin d’être avarié. Bien au contraire même. En reprenant le schéma de Dragon Ball Z : Budokai 3, Spike a également apporté sa touche personnelle et a considérablement approfondi le système.

 

Le principe de base reste le même, à savoir diriger un (ou plusieurs personnages) sur une carte représentée en 3D. Pour se déplacer, il suffit de maintenir la touche Z sur le Nunchuk ou L sur le pad GameCube enfoncé pour foncer tête baissée et se diriger vers les différents points indiqués sur la carte. Il en existe trois différents. Le point rouge est la destination obligatoire pour avancer dans l’histoire. Le point jaune correspond aux quêtes annexes, des missions facultatives qui permettent de récolter ici et là des bonus mais aussi de gagner un peu plus de sous pour espérer acheter ou débloquer des personnages dans la boutique. Reste alors le dernier point. De couleur blanche, celui-ci apparaît en de rares occasions, au moment précis où vous avez récolté les 7 boules de cristal. Une fois en votre possession, il ne tient plus qu’à vous d’aller invoquer Shenron pour lui demander un souhait. De la même manière que le précédent épisode, les boules de cristal sont éparpillées un peu partout sur la carte. Certaines sont facilement trouvables en allant simplement rendre visite à un personnage tiers tels que Yamcha, Tortue Géniale ou Maître Karine. D’autres en revanche demandent plus de recherche, puisqu’il faut parfois détruire un élément bien précis du décor pour espérer dénicher cette fameuse boule de cristal. Elles sont importantes dans le sens où elles vous permettront de débloquer les tous derniers personnages. Ceux qu’on ne peut pas trouver autrement, même en fusionnant toutes les boucles d’oreilles possibles. Sur ce point-là non plus, Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 n’a pas varié d’un iota puisque les persos les plus intéressants se débloquent en fusionnant des boucles d’oreilles de la même ou de différente couleur. La quête sera longue avant d’espérer avoir les 129 personnages en sa possession, d’autant que le mode "Aventure" est d’une richesse hallucinante. Chaque chapitre de la série est découpée avec soin et chaque combat est entrecoupé d’une séquence animée qui reprend à la lettre le manga, la série, les téléfilms et autres OAV. De quoi être émoustillé.

 

Force brute

 

Mais les nouveautés ne s’arrêtent pas là. Loin de là même. Si dans le fond, le principe et le système de combat de Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 suivent le même schéma que son aîné, Spike a revu et corrigé certains aspect du gameplay pour l’approfondir davantage. Les attaques au corps à corps par exemple sont les changements les plus flagrants dans cet épisode. S’il était possible d’enchaîner avec dynamisme les combos dans le premier volet, ici on peut désormais rendre les attaques encore plus percutantes. En combinant en en alternant au choix les enchaînements des touches A et B, il est désormais possible de maintenir son adversaire à la merci pour le faire ensuite valdinguer à l’autre bout de la carte. Les combos sont encore plus libres qu’auparavant, puisqu’il sera possible si on le souhaite de casser cet enchaîner par un counter attack (qui s’effectue en fonction du nombre de coups assénés), par une téléportation (idéale pour continuer de matraquer son antagoniste le plus longtemps possible) ou bien encore de le repousser. Il existe également de nouveaux enchaînements qui permettent de propulser au loin son ennemi, tout en lui suivant grâce à la téléportation. Trois attaques d’affilé est le nombre maximum que l’on peut exécuter, ce qui est largement suffisant pour humilier son adversaire en bonne et due forme.

 

Toujours dans l’optique de jouer les coqs dans la basse-cour, il y a aussi la maîtrise des super attaques. Pas fainéant pour un sou, Spike ne s’est pas contenté de recycler l’ensemble des attaques de chacun des personnages du précédent volet. Bien au contraire même, la plupart des attaques ont été renouvelées et c’est un vrai plaisir que de redécouvrir à nouveau l’ensemble de ces 129 personnages. La vague dévastatrice de Goku dans sa première version Super Sayajin offre un résultat à l’écran tout simplement époustouflante, lorsqu’il dégage cette vague d’énergie à l’aide de sa simple main droite. Il est également possible de faire exploser le décor littéralement. Seuls certains persos ont accès à cette possibilité puisqu'il faut impérativement que l'attaque soit assez puissante pour réduire la planète à feu et à sang. Pour ce faire, il faut atteindre le stade de Sparking, à savoir remplir deux fois sa barre de Ki et ainsi accéder aux ultimes attaques, celles qui font mal donc.

Les réjouissances continuent de plus belle avec l’apparition des transformations en temps réel. Voilà un élément que les fans sauront apprécier. Il est donc bel et bien possible de se métamorphoser en plein combat, à la seule condition s’avoir débloqué l’ensemble de ces transformations. La manipulation est simple puisqu’il suffit d’appuyer sur le bouton 1 de la Wiimote pour se métamorphoser en Super Sayajin ou en stade évolué, c’est selon les personnages. Thalès, Baddack, Vegeta période Namek, Nappa, Radditz et Goku enfant peuvent maintenant se transformer en gorille géant par exemple. Tortue Géniale fera craquer sa chemise pour faire comme Hulk et passer au stade maximum, tandis que Super Buu assimilera Gotenks ou Gohan pour gagner en puissance. Bref, inutile de tartiner davantage, une fois de plus, Spike a respecté à la lettre les codes de DBZ. Et on ne peut que s’en réjouir et féliciter cette initiative.

 

La boule à Z

 

La taille des arènes étant désormais un tiers plus vaste que ceux du premier Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi, idéal pour fuir les attaques d’un Vegeta gorille ou d’un Hildegarne trop imposant. Sur ce point-là, Spike a tenu à respecter certains codes émis par le manga et les différents OAV. Un gorille ou un autre personnage à la taille démesurée tel que Hildegarne ou Janemba (dans sa première forme) ne craignent absolument pas les attaques enchaînées d’un perso aussi insignifiant tel que Videl, Mr Satan, Yajirobe ou bien encore Tortue Géniale. Ces deux derniers sont d'ailleurs incapables de de se maintenir dans les airs trop longtemps. Le respect des forces est peut-être conservé mais surtout pas l’équilibre entre les personnages. Tortue Géniale n’aura donc que peu de chances de remporter un match face à un Gogeta Super Sayajin 4 ou un Hildegarne, capables de vider une barre de vie d’une simple attaque dévastatrice. Le respect est conservé jusque dans les moindres détails puisqu’un Super Guerrier mettra beaucoup moins de temps à charger sa barre de Ki qu’un simple mortel tel que Yamcha ou Tenshin Han. Reste alors les différentes capsules à collecter pour insuffler des forces et des points d’expériences supplémentaires pour faire le poids. Ceci dit dans l’absolu et toujours à titre de comparaison, certains personnages sont amenés à gagner un combat plus facilement que d'autres. C’est la loi du plus fort et c’est un choix respectable.

 

Une fois le mode "Aventure" totalement bouclé, il reste un bon nombre de modes de jeu pour ne pas s’ennuyer. Spike a mis le paquet et en sus d’un mode Versus incroyablement intéressant, grâce à la présence d’arbitres qui permet de dicter des règles lors des combats, la possibilité de faire commenter son match par un des personnages proposés. On retrouve les matchs en un contre un mais aussi les relais, dans lequel on compose son équipe pour ainsi switcher d’un personnage à un autre, à l’instar du mode "Histoire".  Bien entendu, on retrouve aussi l’incontournable mode "Tournoi" qui sied tant à l’univers Dragon Ball, mais aussi toute une ribambelles de modes de jeu qu’on trouvait déjà dans le premier épisode. Bref, il y a de quoi faire et il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour ne pas trouver chaussure à son pied. Pour Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2, Spike a-t-il réalisé un sans faute ? La réponse est malheureusement négative. On chipotera par exemple par un bug assez agaçant, celui qui force les personnages à changer subitement de direction de manière aléatoire et hasardeuse lorsqu’ils avancent et se collent sans le savoir aux limites du terrain. C’est un élément perturbateur qu’on retrouvait déjà dans l’opus précédent et il est dommage que les développeurs n’aient point trouvé de compromis pour éviter de se retrouver en face d’un adversaire qu’on essayait de fuir depuis un certain temps. De même, arrivé à une certaine distance d’un ennemi, le personnage se met aussitôt en position d’attaque au corps à corps. Certes, cela permet de gagner en fluidité dans les combats mais il est assez difficile de fuir les attaques ennemies lorsqu’on est pris sous les coups, peu importe la direction choisie. 

Pour continuer sur les points les plus fâcheux du jeu, on se retrouve une fois encore face à une version PAL amputée des musiques originales. Les voix japonaises tellement puissantes sont bel et bien présentes mais il est bien triste de devoir se farcir des musiques composées avec un synthé Bontempi et des thèmes qui n’ont absolument rien à voir avec l’œuvre originale. Un détail bien regrettable dans le sens où la B.O. originale est un gage de qualité à prendre en compte. Mieux vaut donc se diriger vers la version japonaise pour ceux qui ne sont pas allergiques aux kanjis et autres katakanas. Ainsi, il pourra profiter des musiques originales qui permet au jeu de prendre une tout autre dimension. D'autant, que l'ensemble des musiques sont là et avant de commencer un combat en mode "Versus", il est possible de choisir son morceau préféré. Excellent ! En revanche, on regrette que la cinématique d’intro soir complètement ratée, aussi bien dans sa mise en scène que dans le character design choisi, à 20 000 lieues du coup de crayon de Toriyama. Mais rassurez-vous, il s’agit donc là de détails finalement assez menus comparés aux innombrables qualités dont regorge le titre, mais si c’est la perfection que l’on recherche, il est regrettable de passer si près... Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 2 n’en demeure  pas moins la représentation la plus fidèle et la plus réussie de tous les jeux estampillés DBZ existants. Il fallait que ça soit dit.







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 Osef


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