TiGames connaît sa force, à savoir ce mélange d'animaux anthropomorphes dans un univers sci-fi rempli d'augmentations mécaniques. Evidemment, Rayton, le lapin-bagarreur emblématique du premier jeu, est évidemment de retour, mais cette fois, il n’est plus l’anti-héros solitaire, torturé dans ses ruelles industrielles, puisqu'il est à la tête d’une escouade improbable, avec deux autres partenaires : Trixie, une écureuil rapide et acrobatique et Braton, le rhinocéros démolisseur qui porte avec lui une épée colossale ; le tank de la team en quelque sorte. Il sera possible de switcher de personnages à la volée et ainsi profiter de leurs capacités à chacun pour varier les plaisirs.
La première rupture radicale avec F.I.S.T., c’est le format. Le premier jeu brillait par son level design en 2,5D, sa structure semi-ouverte et son identité Metroidvania assumée. Zoopunk, lui, décide de se libérer totalement, avec un monde en 3D complet, des zones plus larges, des environnements explorables et une verticalité plus prononcée. TiGames semble également vouloir montrer une montée en gamme technique, avec des effets partout : reflets métalliques, particules omniprésentes, machines qui explosent dans une pluie d’étincelles . Au cœur de l’intrigue, on retrouver sinon un artefact énigmatique, baptisé Spark, qui semble convoité par plusieurs factions. L’un des personnages aperçus dans la bande-annonce est même capturé par un groupe rival visiblement décidé à mettre la main sur cette source de pouvoir.
Ambitieux, spectaculaire et très prometteur, Zoopunk est attendu sur PC, PS5 et Xbox Series, sans date de sortie précise encore.
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