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Comme l'indique Capcom dans son tout récent rapport financier de 2019, la série est désormais "rétablie avec succès", elle qui avait quelque peu sommeillé la dernière décennie. Mieux que ça, la firme y évoque également son avenir, à elle et celui de Resident Evil dont le remake du deuxième opus, daté du mois de janvier dernier, est une réussite plus que clinquante.
En outre, ils [les développeurs de Capcom] débordent d’énergie et désirent utiliser leurs compétences pour développer de nouveaux marchés. C’est pourquoi ils ont rejoint Capcom, dont l’ADN est ancré dans les marchés mondiaux. Si l'employé est très compétent, il peut être affecté au développement de grandes marques, telles que Resident Evil ou Devil May Cry, dans les premières années de leur carrière.
Apprendre et obtenir des résultats sous la tutelle d'un leader tout en assumant de plus en plus de responsabilités prépare au fil du temps cet employé à s'assurer, lui-même, un futur rôle de chef de projet.
C'est qu'il semble y faire bon vivre, à Osaka. Plus que l'avenir visiblement radieux des concepteurs japonais, on y note évidemment les futurs plans de l'entreprise pour Devil May Cry et Resident Evil qui, a priori, devraient bien connaître de nouveaux jeux.
Dans ce même rapport, Capcom a également précisé qu'il se concentrerait sur la réutilisation de ses licences existantes - et notamment dormantes - plutôt que de nouvelles franchises, ce qui indique très clairement que des suites, des remakes ou des remasters sont à prévoir. Dans le cadre de Devil May Cry, l'idée d'une refonte pour le mythique premier chapitre réalisé par Hideki Kamiya a de quoi faire frissonner. On signe où ?
@CagnardMax 
@maxcagnard 
