En attendant notre test qui ne devrait plus tarder, et pour clore ce dossier, voici un rappel de qui a déjà été précisé sur le compte de Devil May Cry 5 à savoir DmC. Reboot total de la série de Capcom, il réintègre l'antagonisme entre les deux fils de Sparda que sont Dante et Vergil. A la différence du reste de la saga, le premier arbore désormais de courts cheveux noirs et un design assez androgyne, ce qui a valu au jeu les foudres de fans extrémistes qui attendaient un changement d'orientation de la part de Ninja Theory sous la pression. Heureusement, à la différence de Bioware, le studio a su garder son cap et poursuivre dans la voie qu'il avait choisi. Une fantaisie capillaire qui n'a pas altéré un style de combat toujours centré sur la dualité arme blanche/arme à feu et favorisant les enchaînements. Plutôt orienté vers Devil May Cry premier du nom, le jeu de Capcom abandonne la notion de styles pour une unique manière de combattre, supportée par de nombreuses armes séparées en deux catégories, angélique et démoniaque. Dans le même esprit, si les rangs sont conservés, avec un ordre et une iconographie similaire, il est nécessaire de faire progresser chacun avant d'enclencher le suivant. Par exemple, il faudra compléter la jauge affiliée au rand D pour accéder au C et ainsi de suite jusqu'au fameux SSS.
DMC : UNE VIDÉO TRÈS ROCK
Une note qui sera conservée en fin de mission mais qui ne vous donnera pas plus d'objets à troquer contre des upgrades, obtenus eux sur les ennemis sans nécessité de se la jouer pure player et dans les décors. Ninja Theory a également pris le parti de récupérer le concept du Devil Bringer sous la forme d'un fouet qui permet non seulement de récupérer les ennemis pour mieux les marteler, mais aussi de s'accrocher à certains éléments du décor pour avancer lors de phases de plates-formes, nouveauté de cet épisode. L'autre modification visible est la direction artistique qui quitte le domaine du gothique plus ou marié à une sorte de modernisme pour un côté punk-baroque avec quelques influences orientales, dans le style habituel de Ninja Theory. Un univers qui tranche avec les bases de la saga, plus dynamique, plus actuel, sans pour autant se détacher du background, via la présence des grandes figures, en premier lieu Mundus, renouvelé en business-man costard/cravate. Un nouveau départ à la fois pour la série et pour Capcom qui, à l'image de Konami avec Castlevania ou de Square Enix avec Tomb Raider, tente de remettre à flot une licence clairement en perte de vitesse en comptant une base de fans qui sera sensible à la marque et des nouveaux venus peut-être plus touchés par une modernisation de l'approche. Réponse dans quelques jours, DmC étant prévu pour le 15 janvier 2013.
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En attendant notre test qui ne devrait plus tarder, et pour clore ce dossier, voici un rappel de qui a déjà été précisé sur le compte de Devil May Cry 5 à savoir DmC. Reboot total de la série de Capcom, il réintègre l'antagonisme entre les deux fils de Sparda que sont Dante et Vergil. A la différence du reste de la saga, le premier arbore désormais de courts cheveux noirs et un design assez androgyne, ce qui a valu au jeu les foudres de fans extrémistes qui attendaient un changement d'orientation de la part de Ninja Theory sous la pression. Heureusement, à la différence de Bioware, le studio a su garder son cap et poursuivre dans la voie qu'il avait choisi. Une fantaisie capillaire qui n'a pas altéré un style de combat toujours centré sur la dualité arme blanche/arme à feu et favorisant les enchaînements. Plutôt orienté vers Devil May Cry premier du nom, le jeu de Capcom abandonne la notion de styles pour une unique manière de combattre, supportée par de nombreuses armes séparées en deux catégories, angélique et démoniaque. Dans le même esprit, si les rangs sont conservés, avec un ordre et une iconographie similaire, il est nécessaire de faire progresser chacun avant d'enclencher le suivant. Par exemple, il faudra compléter la jauge affiliée au rand D pour accéder au C et ainsi de suite jusqu'au fameux SSS. 
Une note qui sera conservée en fin de mission mais qui ne vous donnera pas plus d'objets à troquer contre des upgrades, obtenus eux sur les ennemis sans nécessité de se la jouer pure player et dans les décors. Ninja Theory a également pris le parti de récupérer le concept du Devil Bringer sous la forme d'un fouet qui permet non seulement de récupérer les ennemis pour mieux les marteler, mais aussi de s'accrocher à certains éléments du décor pour avancer lors de phases de plates-formes, nouveauté de cet épisode. L'autre modification visible est la direction artistique qui quitte le domaine du gothique plus ou marié à une sorte de modernisme pour un côté punk-baroque avec quelques influences orientales, dans le style habituel de Ninja Theory. Un univers qui tranche avec les bases de la saga, plus dynamique, plus actuel, sans pour autant se détacher du background, via la présence des grandes figures, en premier lieu Mundus, renouvelé en business-man costard/cravate. Un nouveau départ à la fois pour la série et pour Capcom qui, à l'image de Konami avec Castlevania ou de Square Enix avec Tomb Raider, tente de remettre à flot une licence clairement en perte de vitesse en comptant une base de fans qui sera sensible à la marque et des nouveaux venus peut-être plus touchés par une modernisation de l'approche. Réponse dans quelques jours, DmC étant prévu pour le 15 janvier 2013.
